Cette étude a pour l’objet de lire la terreur vue dans Les Passions de l’âme de Descartes et de comparer la terreur dans Méditations poétiques de Lamartine. L’oeuvre dernière de Descartes, Les Passions de l’âme dans laquelle se surpasse la division cartésienne, i.e. la séparation de l’âme et du corps, montre les formations, les nombres, l’ordre du dénombrement des passions, et surtout les moyens de conduire bien des passions. L’objectif principal des Passions de l’âme se situe alors à une âme qui peut règler ses passions, acquérir un pouvoir absolu sur ses propres passions et accomplir la vertu générosité. C’est ainsi que Les Passions de l’âme se présente comme une référence pour chercher des méthodes de contrôler les passions négatives, par exemple la terreur qui peut se développer aux problèmes socials et violents.
Mais il faut d’abord de la conscience des passions pour le règlement des passions problèmatiques. Et la conscience réclame une distance et puis une sorte de méditation, par exemple Méditations poétiques de Lamartine. Chaque ‘méditation’ que Lamartine a appelé ses poèmes dans son premier recueil peut être un parcours réflexif par lequel les passsions individuelles et négaives du poète se cristallisaient en des poèmes qui évoquaient un lyrisme des peuples qui avaient éprouvé la littérature terne et désséchée à propos des sentiments intimes et leur expression.