본 연구는 펠릭스 나다르의 『내가 사진가였을 때』에 실린 「살해 사진」에서 다룬 사진 이미지가 당시 사회에 미친 파장을 탐색했다. 우선, 미메시스가 살해 사건에 연루된 인물들의 연쇄적인 심적 감응을 비롯하여 주인공과 나다르의 삶을 잇는 연결고리로 작동하는데, 이것이 19세기에 사진을 바라보는 대중의 인식을 환기한다는 점을 밝혔다. 둘째, 치정 癡情으로 살해된 오베르의 시신을 당시 선풍적 인기를 끈 ‘사진의 은유’로 해석하여 사진이 점차 미메시스에서 탈피하고 있다는 점을 부각했고, 아울러 사진의 대중화로 생긴 변화도 성찰했다. 셋째, 일간지에 실린 시신 사진의 ‘사회적 공모’와 그 파장을 고찰하여 대중의 집단적 혐오가 여성에게 불리한 판결을 유도한 점을 부각했다. 이를 통해 사진이 현실을 제대로 투영한 진보적 이미지가 아니라 권력을 가진 남성 본위의 사회가 내세운 보수 문화의 반영임을 밝혔다.
Cettre étude a exploré les répercussions d’une photo sur la société au 19ème siècle autour d’un récit 〈Photographie homicide〉 dans Quand j’étais photographe de Félix Nadar.
Tout d’abord, Mimésis se révèle au moment où les personnages se trahissent et se vengent. Ces réactions psychologiques qui se succèdent évoquent la photo transcrivant l’image de l’objet à l’infini. De même, le cadavre d’Aubert a été mis en évidence comme une ‘métaphore du daguerréotype’. Son corps est la seule trace qui prouve son existence et sa souffrance, et ici apparaît le point de vue selon lequel la photo s’éloigne de l’obsession de Mimésis. D’où transparaissent l’évolution de la perception de la photo et un changement dû à la photo. Nous avons aussi examiné la ‘complicité sociale’ poussée par la photo illustrée dans les articles du journal et son impact. Le public a dénoncé les criminels après avoir vu la photo du corps d’Aubert, ce qui affecte également le verdict dans l’affaire Fenayrou. Basée sur le jugement du procès qui fixait les normes du sexe, de la morale et de la politique à l’époque, la photo n’est pas vue comme une image fidèle à la réalité, mais plutôt comme le reflet de la société et de la culture conservatrices prônées par les hommes au pouvoir. Même à l’époque actuelle, l’image photographique exerce une forte influence politique et sociale sur le public. Seuls les doutes persistants sur l’image et la surveillance pourraient nous libérer de l’oppression du pouvoir.